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                                    feuillet blanc (K10). Quelques trous de vers en fin de volume (perte de quelques caract%u00e8res), larges mouillures sur les premiers feuillets, les feuillets des cahiers a et b sont remmarg%u00e9s, salissures %u00e0 quelques feuillets. Quelques annotations marginales.1 200 %u20ac Tr%u00e8s rare %u00e9dition post-incunable du Coutumier de Normandie.La premi%u00e8re %u00e9dition avait %u00e9t%u00e9 imprim%u00e9e %u00e0 Paris en 1483, suivie de quelques %u00e9ditions in-octavo imprim%u00e9es %u00e0 Rouen ou %u00e0 Paris %u00e0 la fin du XVe si%u00e8cle mais non dat%u00e9es.Ce coutumier est divis%u00e9 en cinq parties : le Grand Coutumier proprement dit, avec la glose ordinaire, en fran%u00e7ais (jusqu'au feuillet cxxiv), Jura et consuetudines quibus regitur ducatus Normannie (en latin, ff. cxxv %u00e0 clxiv), la Charte aux normans, en fran%u00e7ais (ff. clxv %u00e0 clxxiv), le Tractatus arboris consanguinitatis(5 feuillets en latin provenant d'un ouvrage ant%u00e9rieur, portant la signature mm : cette partie est illustr%u00e9e de trois grands bois grav%u00e9s : l'arbre de consanguinit%u00e9, l'arbre des affinit%u00e9s et l'arbre des affinit%u00e9s spirituelles) ; les Ordonnances royaulx (en fran%u00e7ais) occupent les 33 derniers feuillets non chiffr%u00e9s.Exemplaire malheureusement incomplet de plusieurs feuillets.Gouron & Terrin, n%u00b01298 ; Brunet II, 377; Adams, N.337; Bechtel, C-813 ; USTC, 67370.13. [INCUNABLE] / [COUTUMIER]Le coustumier des pays danjou et maine correct.Angers, [Rouen, Martin Morin pour] Jean Alexandre, s.d. (1493).[A la suite] : Les Stilles et usaiges de proceder en court laye es pais danjou et du maine nouvellement ordo[n]ez, et commande estre gardez et observez par messegneurs de la justice desd. pays, Autrement nomme le mirouer des advocats et gens de pratique.Angers, Jean de La Tour, s.d. [1494-1495].2 ouvrages en 1 vol. in-16, veau brun, dos %u00e0 nerfs orn%u00e9 de petites fleurs de lys dor%u00e9es encadr%u00e9es de doubles filets %u00e0 froid, double encadrement d'un triple et d'un double filet %u00e0 froid sur les plats, petites fleurs de lys aux angles de l'encadrement int%u00e9rieur, fleuron dor%u00e9 au centre. Reliure moderne dans le go%u00fbt du XVIe si%u00e8cle. Cachet sur la garde blanche de Claude Lambert (Sabl%u00e9, XXe s.), note manuscrite dat%u00e9e de 1710 au v%u00b0 du premier feuillet par un avocat du Mans, note bibliographique du XIXe si%u00e8cle et cachet de L. Lefebvre, pr%u00eatre de Mamers sur le dernier feuillet blanc en fin de volume.Premier feuillet dans une frise typographique grav%u00e9e sur bois comprenant un personnage et des oiseaux dans des feuillages, impression en caract%u00e8res gothiques %u00e0 23 lignes, qq. lettres peintes en rouge, ciii ff., (10) ff.; LIV ff., (1) f. blanc. Signatures : [A-N]8 O10 ; [a-g]8. Il manque les feuillets de titre (A1 et a1) des deux ouvrages. Quelques annotations marginales. 12 000 %u20ac R%u00e9union de deux rarissimes incunables en fran%u00e7ais sur le droit coutumier du Maine et de l'Anjou.L'Anjou et le Maine %u00e9taient rest%u00e9s unis jusqu'%u00e0 la mort du roi Ren%u00e9 d'Anjou en 1480. Les deux provinces furent r%u00e9unies au domaine royal par Louis XI en 1482. Ceci explique que les coutumes de ces deux provinces soient %u00e0 peu pr%u00e8s identiques. Ce n'est qu'%u00e0 partir de 1509 que les deux coutumes furent dissoci%u00e9es.La premi%u00e8re %u00e9dition des coutumes conjointes de l'Anjou et du Maine fut imprim%u00e9e vers 1477, et plusieurs fois depuis. Les %u00e9ditions incunables sont rarissimes de nos jours et quasiment introuvables.P6 7T 4#yP6 5T 36 #y
                                
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